La pandémie COVID-19 frappe durement les cabinets dentaires

« Directives Coronavirus »

On trouvera ci-dessus un exemple de « Directives Coronavirus » montrant à quel point la pandémie COVID-19 entrave l’activité des cabinets dentaires, à telle enseigne que la plupart (68%) sont fermés.

Certains cabinets — une minorité (31%) — admettent encore en traitement les cas réellement urgents1, mais excluent les patients présentant les symptômes caractéristiques de l’infection au COVID-19 (fièvre, toux, mal de gorge, etc.).

En outre, une fois admis, le patient — urgent et asymptomatique — franchit un véritable « parcours du combattant » visant à réduire son degré de contagiosité.

A noter que le patient n’est pas autorisé à se rendre aux toilettes, qu’il doit désinfecter lui-même sa carte d’identité et payer par Bancontact…

Pop-up DH Jecta 11-4-2020

En matière de prothèses dentaires, certains cabinets se montrent plus libéraux vu le moindre risque de transmission du virus à l’occasion de ces travaux (pas d’aérosolisation).

  1. Ces cas « urgents » ne sont pas si nombreux, citons : hémorragie après extraction dentaire, douleur très aigüe, traumatisme, abcès avec risque de septicémie, etc.

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